ARCHITECTURES EXPÉRIMENTALES





ARCHITECTURE SCULPTURE

 SCULPTURES HABITACLES, André Bloc





Sculptures-habitacles d'André Bloc, dont les formes libres déploient un espace topologique ;
projets organiques des Cité aérienne et Cité spirituelle, de l'église du Carmel de St-Saulve,
construite à Valencienne par Székely ; ou encore, le projet de maison biologique de l'artiste
James Guitet. Au même moment, des architectes développent des formes biomorphiques et
sculpturales, ainsi Ricardo Porro en France ou Vittorio Giorgini en Italie.


MONOLITHES 

AÉROGARE D ROISSY, Paul Andreu 

 

 



En 1968, le tout jeune architecte en chef d'Aéroports de Paris, Paul Andreu, 

réalise la construction de l'aérogare de Roissy I : soulevé par des pilotis, ce " globe "
de béton brut, qui renvoie à la sphère terrestre, est creusé d'un cratère central qui lui apporte
la lumière. Roissy I, au rythme centripète, est une forme close et monolithique, qui se ramifie
en même temps tout autour à travers sept constructions satellites. Ce double mouvement de
concentration-expansion, unité et dissémination, détermine une architecture complexe, l'une
des plus marquantes de l'architecture contemporaine.


 STRUCTURES SPATIALES

STRUCTURES, David Georges Emmerich


 


Les recherches sur la morphologie des structures de David
Georges Emmerich le mènent vers 1958 aux assemblages de structures autotendantes. On
retrouve la notion de " grille spatiale " dans cet espace combinatoire où les éléments de
tension et de compression sont diffusés en continu à travers l'articulation d'éléments
modulaires identiques. Les structures d'Emmerich rendent compte d'un univers
cristallographique invisible, qui se réfère notamment aux dômes géodésiques de
Buckminster Fuller, à l'étude des radiolaires de Robert Le Ricolais dans les années 1930. À
la masse de l'architecture, Emmerich substitue la structure. Les structures autotendantes
d'Emmerich permettent d'engendrer des habitacles ellipsoïdes, sphériques, nervurés,
autostables et déplaçables. Outre de nombreuses structures autotendantes et de dessins,
dans la cour des Subsistances militaires, sera exposée, une structure de plusieurs mètres
d'envergure, " structure-structure " avait dit Emmerich, comme il y a de la " peinture-peinture". 


VILLES SPATIALES

 THÉORIES de Yona Friedman


 

 

Le concept de mobilité est aussi mis en oeuvre, en France, par
Yona Friedman. À partir de recherches sur les structures spatiales, il développe un système
proliférant qui procède par interpénétration de strates ou de " nappes ". En 1956, Friedman
expose, pour la première fois, ses théories au CIAM de Dubrovnik (Xème Congrès
International d'Architecture Moderne) et fonde en 1958 le GEAM (Groupe d'Étude
d'Architecture Mobile) qui propose une mobilité potentielle de l'habitat. Ses Villes spatiales
sont des villes suspendues sur pilotis, qui se répartissent sur plusieurs niveaux à partir d'une
structure tridimensionnelle. L'habitant déplace librement son habitat à partir de la trame de
cette grille. Les propositions de Friedman seront très influentes sur le développement de
l'architecture métaboliste au Japon des années 1960/70 (Kurokawa). En Allemagne,
Schulze-Fielitz expérimente à la même époque des villes spatiales tridimensionnelles, ainsi
que Martin Pinchis en France. Giorgini poursuivra également ces recherches aux États-Unis.
La postérité des Villes spatiales s'étend aux projets récents d'architectes ainsi ceux de
MVRDV aux Pays-Bas.




 L'ARCHITECTURE-CELLULE


 Häusermann 


 

 Chanéac

 


 

 Antti Lovag

 
 

L'exploration de lamobilité en architecture dans les années 60 
conduit à la définition d'un nouvel espace, fait de
modularité, de prolifération et d'agglomération de cellules. Matières plastiques, coque
monobloc, vont permettre à la notion d'assemblage de cellules autonomes et connectées
entre elles de se déployer. Dès les années 1950, en France, les recherches sur les
matériaux plastiques débouchent sur la conception d'unités d'habitations autonomes. En
1956, un jeune architecte à peine arrivé de Roumanie, Ionel Schein, expose à Paris le
premier prototype d'une maison en plastique, détaché du sol comme pour mieux démontrer
sa légèreté, qui connaîtra un succès phénoménal et une postérité considérable. La même
année, il réalise avec ses Cabines hôtelières les premiers modules autonomes d'habitat, qui
peuvent être transportés et installés n'importe où. Ce sont ensuite Pascal Haüsermann et
Chanéac qui, en France et en Suisse, à partir de recherches sur les matériaux plastiques,
développeront vers le début des années 1960 une architecture tout à la fois organique et
modulaire constituée d'agglomération de cellules. Des prototypes de cellules de Chanéac et
d'Haüsermann seront exposés dans la cour des Subsistances militaires. Le phénomène
d'autoconstruction, que revendiquera Antti Lovag avec l'habitalogie, devient également la
préoccupation de nombreux architectes des années 1960-70. Ce principe d'évolutivité de
l'habitat, de sa mobilité, de son extrême économie de moyens, développé à travers des
formes organiques, laisse à l'habitant une liberté d'adaptation dans l'extension ou la
combinatoire des cellules entre elles.



ARCHIGRAM

ARCHIGRAM, Arthur Quarmby

 

Cette architecture sans fondation est explorée par Arthur Quarmby et
Archigram en Angleterre, qui développent des cellules proliférantes qui se " pluggent ", se
branchent les unes aux autres, comme des circuits de distribution de flux. Le FRAC Centre
possède, dans ses collections, deux projets-phare d'Archigram, Instant City (1969) de Peter
Cook et le Living Pod (1966) de David Greene. L'efflorescence du pop art, qui s'approprie la
culture populaire, la nouvelle société médiatique, l'univers électronique, la découverte de
l'espace, se répercutent dans les projets d'Archigram. L'habitat devient lui-même un objet,
jetable, consommable, éphémère, déclare ainsi Guy Rottier en France, dans les années
1950, qui imagine alors des villages en carton à brûler après usage. Le Living Pod de David
Greene est tout à la fois un habitat mobile, une enveloppe vestimentaire, une capsule
aéronautique, équipée d'un " kit " intégral. Instant City de Peter Cook est une ville nomade,
qui se déplace, élément par élément, héliportée par des dirigeables ou des montgolfières.
Tout se passe comme si l'intensité des flux d'informations de la nouvelle société de
consommation s'infiltrait dans la ville. Instant City, la " ville instantanée ", se pose sur une
ville existante, où elle crée un événement qui sera " architecture ". Pour Archigram,
l'architecture doit créer une " situation ". Ville-réseau ou premier village global, Instant City
n'est plus assujettie à une logique de localisation ; elle est itinérante, et suit les flux de
l'événement et de la circulation de l'information. Déjà, en 1928, Buckminster Fuller avait
imaginé une ville aérienne. Cette architecture-événement, qui se donne dans l'instant, pose
la question : l'architecture comme objet construit est-elle encore légitime ? Vers 1968, un
groupe new-yorkais, ONYX, crée ainsi la " mail architecture ", architecture n'existant que par
la voie du courrier.


ARCHITECTURE GONFLABLE

ARCHITECTURE PNEUMATIQUE, H.W. Müller



Cette ville-dirigeable témoigne de l'importance de
l'architecture pneumatique à la cette époque. En mars 1968, a lieu une exposition historique
sur les structures gonflables au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris. Cette architecture
de l'air se revendiquait, chez Archigram, comme une " non-architecture ". La mobilité prend
des connotations plus sociales et politiques chez le groupe Utopie (Stinco, Jungmann et
Aubert) qui, en 1968, élabore plusieurs projets d'architecture pneumatique. H.W. Müller
développe lui aussi des projets d'architecture gonflable à partir de structures
tridimensionnelles, tout comme Arthur Quarmby en Angleterre. Entre mobilité et habitat
domestique, Lotiron/Perriand réalisent un projet de Caravane-Fleur (1967).


ARCHITECTURE RADICALE EN AUTRICHE

Coop Himmelblau

 


 Haus-Rucker-Co




Les projets des Autrichiens, Haus-Rucker-Co et Coop Himmelblau
développent des architectures qui se " pluggent " elles aussi sur des bâtiments existants et
se donnent comme des environnements psycho-sensoriels. Ici aussi, le matériau est l'air.
Pour Coop Himmelblau, les nuages sont les symboles d'états rapidement changeants. Ils se
forment et se transforment par le jeu complexe de situations différentes. L'architecture en
tant que développement urbain peut être comparée à des masses nuageuses. Dans cette
période d'activisme viennois, Coop Himmelblau élabore un projet d'habitat-capsule,
assemblage de cellules gonflables, emblématique de l'architecture radicale, Villa Rosa. De
même, Pneumacosm de Haus-Rucker-Co est une unité d'habitation gonflable, accrochée à
une structure urbaine verticale, qui fonctionne comme une ampoule électrique. Dans ces
projets, l'architecture se donne comme une enveloppe tout à la fois pour le corps et pour la
ville, qui permet leur " respiration ", leur pulsation commune. La métaphore récurrente du "
casque ", extension prothétique du corps, se retrouve dans les dessins de Walter Pichler de
cette époque. En 1963, l'artiste Walter Pichler et l'architecte Hans Hollein réalisent à la
galerie Nachst St Stefan à Vienne une exposition historique, " Architektur ". Pichler y
présente son ultime travail d'architecture, à savoir un projet de Ville compacte, présenté pour
la première fois, depuis cette date, dans l'exposition des Subsistances.


MÉGASTRUCTURES 

VILLE DE RAGNITZ, Huth et Domenig



En 1965, Huth et Domenig proposent un projet pour la ville de
Ragnitz en Autriche, qui remporte en 1969 le Grand Prix d'Urbanisme et d'Architecture de
Cannes, s'affirmant comme le projet le plus emblématique de " mégastructure ". La ville
mégastructure se définit par sa capacité infinie d'extension, sa modularité, sa liberté de
planification à travers son ossature ouverte. L'espace urbain s'y donne comme un réseau
d'agglomérations, de libre implantation des cellules d'habitat. L'architecture équivaut à une
infrastructure, préfabriquée industriellement, dans laquelle viennent s'intégrer les " clusters ",
cellules spatiales en matière synthétique, pour les circulations et les habitations. À l'ossature
primaire urbaine, se greffe la structure secondaire des enveloppes climatiques de logement.



 LA FONCTION OBLIQUE: ARCHITECTURE-PRINCIPE 

Claude Parent et Paul Virilio



La mobilité est aussi celle des habitants. Dans les projets d'Architecture-Principe, entre 1963 et
1968, le sol se soulève, et le plan oblique génère une architecture du déplacement. Le
principe majeur de la fonction oblique est celui de la " circulation habitable ", rendue possible
à travers les plans inclinés, le sol artificiel et les systèmes de rampes. Parent et Virilio parlent
alors de " dérivation " dans les villes obliques. La fracture du plan détermine la fonction
oblique. Dès 1966, année de la construction de l'église Ste Bernadette du Banlay à Nevers, -
monolithe fracturé en béton brut -, l'architecture se transforme en " plaques topotoniques "
mouvantes dont l'inclinaison incorpore le déplacement physique de l'habitant. Cette
dimension gravitationnelle de l'espace a, encore aujourd'hui, des répercussions dans le
développement récent des architectures cognitives, espaces artificiels animés qui
interagissent avec l'habitant ou leur environnement (Nox, Oosterhuis, etc). Avant sa
rencontre avec Paul Virilio, Claude Parent avait déjà exploré la fracture du plan, l'instabilité à
travers le basculement de cubes ainsi qu'à travers ses premiers dessins de Turbosites et de
Villes-cônes. Paul Virilio avait, quant à lui, déjà mené des recherches sur les bunkers de
l'Atlantique. Tous deux fondèrent ainsi le groupe et la revue " Architecture-Principe " qui
développa la fonction oblique à partir de la " topologie des surfaces orientées ". La plupart
des dessins et maquettes des projets expérimentaux d'Architecture-Principe seront exposés.



GRILLES ET TRAMES URBAINES 

VILLE CRATERES, Chanéac


Des villes tridimensionnelles de Pinchis aux " villescratères" de Chanéac, se dessine une organisation de l'espace à la quête d'un idéal égalitaire, qui se retrouvera dans les compositions géométriques complexes de l'espace chez Jean Renaudie (ville nouvelle du Vaudreuil, 1967-68) ou chez Renée Gailhoustet. La
recherche d'un nouveau langage, à même de créer de la cohésion dans la diversité, à
travers notamment la prolifération de trames, habitera aussi certains projets d'Andrault Parat
(Lycée d'Orléans-La Source, 1968).



"NEW YORK DÉLIRE" : LA GRILLE COMME INCONSCIENT URBAIN

Rem Koolhaas


 



Le FRAC Centre possède, entre autres, deux dessins majeurs de " NYD " : Flagrant Délit et la
Ville du Globe captif, véritables icônes de l'histoire de l'architecture. Ces dessins sont des
incursions narratives et fantasmatiques dans la " congestion urbaine " de Manhattan, dans le
subconscient machinique de la Ville. La grille est, pour Rem Koolhaas, cet inconscient qui
structure la ville. Cette prégnance de la grille se répercutera dans des projets ultérieurs de
Koolhaas, tel que celui pour La Défense, en 1991, également exposé.


L'ARCHITECTURE DANS SON CONTEXTE



James Wines



Le FRAC Centre a, dans ses collections, un projet construit parmi les plus publiés au monde :
Indeterminate Facade de James Wines/SITE, réalisé à Houston en 1975. Ce bâtiment
commercial, à la façade de briques qui paraît s'effondrer dans l'espace urbain, suspendu
entre construction et démolition, pose la question du contexte, et introduit, pour la première
fois dans l'architecture, de manière aussi radicale, la notion d'indétermination. James Wines
parlera de ce bâtiment comme d'un " ready-made assisté ". Pour Wines, c'est le contexte qui
fait l'architecture. De même, pour Gianni Pettena, qui réalise alors des projets utopiques
intitulés Grass Architecture en 1971, l'architecture naît des soulèvements du sol, de la
matérialisation de son propre contexte. Dans des voies différentes, Wines et Pettena
tenteront de re-naturaliser l'architecture, bien avant la vogue d'une architecture écologique.




ARCHITECTURES BIOMORPHIQUES

 Escuelas Nacionales de Arte, Ricardo Porro

 



Ricardo Porro et Michele Saee Deux démarches,
de deux générations différentes d'architectes, sont ici confrontées : celle de l'architecture
antropomorphique aux racines symboliques de Ricardo Porro, à travers, entre autres, les
écoles d'art et de danse de La Havane à Cuba, au début des années 60, aujourd'hui
inscrites au Patrimoine mondial par l'Unesco, et les explorations corporelles de l'architecte
californien Michele Saee qui, depuis les années 90, décompose le corps en mues,
fragments, enveloppes successives qui se détachent telles les pièces d'un vêtement sur un
corps composite et mouvant. Cette métaphore du corps organique se retrouve aussi chez
Hitsuko Hasagawa (Yamanashi Museum of Fruit).



  L'IMAGE ÉLECTRIQUE

HUMANA BUILDING, Michel Graves



Deux projets emblématiques d'une architecture référentielle et
post-moderne seront exposés : le célèbre Humana Building (1982-86), construit à Louisville,
dans le Kentucky, par Michel Graves, assemblage éclectique de références architecturales,
et le Teatro del Mondo (1979-81) d'Aldo Rossi, qui flotta sur la lagune de Venise, au
classicisme post-moderne, théâtre renaissant de mémoire, qui puise ses analogies
également dans l'architecture des phares ou encore dans les architectures de fête
éphémères au 18e siècle.


AUTOUR DE LA "DÉCONSTRUCTION"

 "Deconstructivist Architecture"

 

En 1988, l'exposition " Deconstructivist Architecture
" réunit au MoMA (Musée d'Art Moderne) à New York, autour du philosophe français
Jacques Derrida, des architectes américains et européens, parmi lesquels Frank O. Gehry,
Rem Koolhaas, Eric Owen Moss, Peter Eisenman, Zaha Hadid, Bernard Tschumi et
Daniel Libeskind, chacun mettant en exergue l'activité théorique et la dimension
conceptuelle du projet. Ainsi, pour Peter Eisenman, il est plus urgent de penser l'architecture
que de la réaliser. Depuis les années 1960, celui-ci expérimente à travers la maison son
activité théorique. À ce titre, la Guardiola House (1986/88) ressort d'une architecture "
textuelle ", qui emprunte à la linguistique comme à la psychanalyse. À partir du décalage de
deux cubes qui s'emboîtent l'un dans l'autre, l'architecture est devenue processuelle et
morphogénétique. En 1982, le projet de l'Open House de Coop Himmelblau, détache
l'architecture de tout programme puisqu'il est généré par l'inconscient : un dessin les yeux
fermés, telle une écriture automatique, sera le " psychogramme " du projet, sa matière brute,
d'où émaneront les autres étapes du projet, formalisées par plusieurs maquettes. Ce projet,
qui sera reproduit dans d'innombrables publications, deviendra emblématique de la
déconstruction. En 1983, Bernard Tschumi met en pratique son approche de la
déconstruction à travers le projet du Parc de la Villette, construit à Paris. Le parc se donne
dans la discontinuité, éclaté sur une grille qui distribue " points ", " lignes " et " surfaces ". Le
Parc de la Villette est ainsi le premier parc urbain qui réunit une pluralité de programmes
formels et fonctionnels. Proche des écrits de Derrida, Tschumi met ici en oeuvre la
dissémination, la contamination, la disjonction, qui font imploser toute unité préalable. Il
recourt à la technique cinématographique du montage pour déployer un scénario urbain
hétérogène, qui vise à la collision des fragments entre eux, programmatiques ou spatiaux.
L'architecture est devenue événement. Le projet pour Berlin, Berlin City Edge (1987) de
Daniel Libeskind, architecte du Musée Juif à Berlin et du nouveau World Trade Center à New
York, est l'un des plus importants projets expérimentaux de cet architecte, tout à la fois
artiste, musicien, mathématicien. Berlin City Edge est une vaste exégèse de la ville.
Multipliant les références, ce projet se donne comme un palimpseste urbain qui se déchiffre
dans ses sédimentations complexes, empruntant autant au Talmud qu'à l'histoire de
l'architecture ou à la littérature. Le " texte architectural ", tel que le nomme Libeskind,
englobe tous les textes, toutes les cultures dans leur diversité et leur universalité. La
collection du FRAC Centre intègre aussi des projets importants de la déconstruction
californienne, principalement de maisons inviduelles (Michele Saee, Morphosis, Eric Owen
Moss).



ARCHITECTURES EN MOUVEMENT 

Odile Decq 


 

Dépassant la déconstruction, et développant une
architecture tout à la fois disruptive et interconnectée, puisant dans le dynamisme et la
tension des éléments, surgissent à cette époque des projets remarqués de Dagmar Richter,
Odile Decq et Benoît Cornette, ou encore, Enric Miralles.


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